Du divorce à l'amiable (suite)

Pour le divorce devant le maire, contre le TCM , en attendant un bonus

http://jprosen.blog.lemonde.fr/2016/05/19/pour-le-divorce-sans-juge-contre-le-tcm-en-attendant-un-bonus/

Article de Jean-Pierre Rosenczveig faisant écho à mon idée de prononcer les divorces devant le maire.

Rencontré dans le blog du Monde de Jean-Pierre Rosenczveig un écho à mon idée de recourir au maire et non pas à un notaire pour prononcer la dissolution d'un mariage.

Dans son billet Pour le divorce devant le maire, contre le TCM , en attendant un bonus, j'apprends même que cette idée, que je croyais nouvelle, part du principe juridique du parallélisme des formes et qu'elle fut proposée dès 1974 par les magistrats du Syndicat de la magistrature et les avocats du Syndicat des avocats de France, réunis à Melun.

"Ce que l’un a fait, il doit pouvoir le défaire" commente l'auteur tout en précisant que le choix du notaire est à l'évidence dû aux aspects matériels. Ce que j'appelle moi, "cracher au bassinet" :).

Le divorce, selon moi, ne sera véritablement déjudiciarisé que lorsqu'il n'y aura plus besoin ni d'avocat, ni de juge, ni de notaire mais seulement du maire pour prononcer la désunion d'un couple. Ou mieux encore, comme en Suède, lorsqu'il n'y ni enjeu financier, ni garde d'enfant mineur, d'une simple attestation de séparation de corps rédigée sur l'honneur et adressée à l'administration compétente. Mais bon, là je rêve !